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Depuis l’intervention commune de Powell, Yellen et Bernanke le 4 janvier 2019, les indices n’en finissent plus d’afficher des semaines positives. Malheur en a pris aux investisseurs qui ont vendu trop rapidement ce rallye de début d’année. Hormis le fameux adage « Sell in May and go away », quelles raisons pourraient nous pousser à réduire le risque dans les portefeuilles ou, au contraire à conserver le biais haussier ?

Le chômage se trompe rarement

Prêtons attention au taux de chômage américain. Historiquement, si vous aviez allégé votre part actions à chaque pic du taux de chômage, vous auriez pris la bonne décision. Cela se constate empiriquement sur le graphique ci-dessus. Lorsque le taux de chômage devient supérieur à sa moyenne des six derniers mois, vous pouvez reconsidérer votre exposition au risque.

C’est ce qui s’est passé en début d’année où le taux de chômage a failli surpasser sa moyenne à six mois. Cependant, le marché se trouve toujours dans une zone à risque et les chiffres de l’emploi américain de ce vendredi 3 mai seront scrutés par les opérateurs. Quoi qu’il en soit, une fois la saison des résultats terminée, les rebonds seront toujours des opportunités de réduction du risque dans les portefeuilles.

 

DISCLAIMER

Cette note est purement informative. Les prévisions indiquées ne constituent pas des recommandations d’achat ou de vente et ne sauraient être considérées comme une garantie de l’évolution future. Elles n’engagent en aucun cas la responsabilité de GIP SA et sont susceptibles de modification en tout temps sans préavis.